Selon le chargé des élections de la formation orange d’Idrissa Seck, « Rewmi est dans une posture de propositions de solutions aux Sénégalais et tous ceux qui pourront nous apporter des idées et des arguments rentrent dans notre plan de bataille. Karim Wade est un citoyen sénégalais comme les autres. S’il n’est coupable de rien, s’il a les mains propres, Rewmi ne voit aucun problème à entamer une discussion avec lui pour voir ce que qu’on peut faire parce qu’il s’en sortira renforcer ».
Abdourahmane Diouf qui prend « l’exemple de son mentor Idrissa Seck qui a fait la prison de laquelle, il est sorti blanc comme neige après avoir montré les preuves de son innocence », ne manque pas de marquer sa gêne dans le cadre du dossier du fils du président sortant Wade. « C’est suspect parce que cela m’étonne que pendant douze (12) ans du pouvoir de Wade, qu’il n’y a qu’un seul ministre parmi une centaine qui a eu à gérer les deniers publics, qui soit inquiété », dit-il tout en invitant à une forte mobilisation pour les locales.
Les conditions de préparation pas des meilleures et les règles du jeu toujours pas connus, il s’agira donc le 29 juin prochain, pour les sénégalais « de voter pour dire s’ils approuvent le travail du gouvernement ou nom » selon Abdourahmane Diouf non responsable départemental de Rewmi à Rufisque où dit-il est en train d’agir pour faire en sorte que tous les partis, mouvements de jeunes ou structures gravitant dans les douze collectivités locales de Rufisque qui ne relèvent pas de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) autour du président Sall le rejoigne pour travailler à une coalition.
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