Le Comité national de gestion de lutte compte avoir la main dure dans l’application des tests anti-dopage. Le président de la structure, le Dr Alioune Sarr, le dit dans Sunu Lamb ce mercredi. « Tous les acteurs de la lutte sont prévenus car cela peut se faire à tout moment. Les lutteurs qui doivent se déplacer doivent laisser leur adresse », explique-t-il.
Pour en venir aux sanctions éventuelles :« retirer sa victoire sera le moindre » pour les vainqueurs contrôlés positifs et « si un lutteur n’accepte pas, il va disparaître. Tout lutteur qui refusera de répondre à des tests, on va appliquer la loi sans état d’âme. Il sera radié. C’est tout. Il ira faire autre chose que de la lutte ».
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