Tambacounda : finale championnat régional, Seydou Sané a gâté les clubs.

Encore parrain pour la deuxième fois de suite de la finale du championnat régional, Seydou Sané n’a pas lésiné sur les moyens pour que la fête soit belle. ” Nos espérances ont largement dépassées “, s’est félicité, Mamadou Bà, président de la ligue régionale de football. Des garnitures sportives aux trophées pour toutes les trois catégories en passant par les enveloppes pour les récompenses des vainqueurs, tout a été pris en charge par le parrain. A qui le président de la ligue régionale dit tirer le chapeau.

L’année dernière, il avait honoré la ligue en acceptant d’être le parrain de sa finale. Cette année encore, Seydou Sané s’est abonné présent. Il l’avait promis et il l’a fait. Cependant, il est revenu cette année avec beaucoup plus de présents dans ses valises. Des trophées, des médailles, des maillots, des tableaux de remplacement pour les arbitres, et que sais-je encore, il y avait beaucoup de choses dans ses valises. Le tout, destiné aux clubs finalistes. De quoi s’enorgueillir, le patron de ligue régionale de football. ” une finale avec autant de récompenses, ça ne se voit pas tous les jours “. Mamadou Bà, visiblement tout heureux a dit décerner une mention spéciale à son hôte et par ailleurs président de la ligue régionale de ziguinchor et vice-président à la fédération sénégalaise de Football.

Devant l’assemblée lors de la remise des équipements aux organisateurs, le parrain a témoigné de sa satisfaction pour le choix renouvelé. ” Entre Tambacounda et moi, c’est du je t’aime moi plus encore ” signigiera, le parrain. Outre les garnitures sportives et les trophées, il a remis la rondelette somme de 2,5 millions de francs aux organisateurs pour les enveloppes des vainqueurs et l’organisation matérielle de la finale.

Concernant les rencontres, en junior, Don Bosco s’est adjugé le trophée devant le club de Dioubo.

En senior, Koumpentoum et Goudiry Sont aux prises au moment de la rédaction des lignes.

Nous reviendrons en détail sur les rencontres.

Par Abdoulaye Fall