Franchement l’Odcav de Tambacounda a perdu “le réseau”, lui qui est incapable d’organiser des matchs sécurisés. Même Daouda Niang, qui leur fend le cœur avec son tournoi, fait mieux qu’eux en payant plus pour la mise à disposition du stade par exemple. Pourquoi l’Odcav, qui se résume d’ailleurs à trois individus, peine à répondre aux questions essentielles que lui posent les jeunes de Tambacounda et les grattes papiers que nous sommes ?
Lentement certes mais très sûrement, les caciques de l’odcav de Tambacounda se tirent une balle dans les pieds. Après Abdoulaye Fall qui a « osé » mettre en relief leurs incongruités et leur incapacité notoire à mener leur barque à bon port, c’est au tour de Daouda Niang, membre du Comité Directeur de la zone 1/A, d’être suspendu pour 4 ans, et le fameux procès verbal de la CQRP départementale, le No 11 du 20 octobre 2014, signifie laconiquement, « vu le PV d’audition du 19 octobre 2014 dans lequel le délégué Daouda Niang reconnait les faits qui lui sont reprochés… ». Qu’est ce que l’on reproche justement à Daouda Niang et qui mérite un tel acharnement ? Pourquoi du côté de l’Odcav l’on est aussi allergique à la contradiction et aux débats d’idées ?
« Suspendre, entendre », allez vous faire voir ailleurs, notamment dans les classes que vous désertez pour exceller dans ce « terrorisme » qui en réalité, n’ébranle personne et ne fait qu’étaler l’étendue d’une incurie débordante qui débèquète vivement.
Ce comportement vaudevillesque de ces membres de l’Odcav ne saurait leur décerner un brevet de satisfaction. Pour l’amour de dieu, déposez le bilan, sinon vous y serez contraints. Plus personne ne vous laissera perdurer dans ces énormités.
Boubacar Dembo TAMBA/www.tambacounda.info/